Fiches individuelles


FAURE Jacqueline
Père : FAURE Charles Marie Louis (1904 - 1992)
Mère : ROUX DIT BUISSON Madeleine (1907 - 2002)

Union : MONTJEAN Hervé (1937 - ?)




FAURE Jacques Jean-Baptiste
général de division,polytechnicien,commandeur de la Légion d’Honneur

Père : FAURE René (1876 - 1923)
Mère : CHAPUT Germaine Rose Madeleine (1881 - 1944)

Union : LANQUETIN Simone Thérèse Louise (1907 - 2003)
Enfants : FAURE Jean René Arthur Charles (1931 - ?)
FAURE Pierre (1932 - ?)
FAURE Françoise (1934 - ?)
FAURE André (1935 - ?)
FAURE Marie Madeleine (1938 - ?)
FAURE Bertrand Michel Jean Léon (1941 - 1981)
FAURE Emmanuel (1945 - ?)

Note individuelle :
Né à Angoulème le 7 Septembre 1906
Etudes au lycée Buffon à Paris
Ancien élève de l’Ecole Polytechnique promo 26.
Sort S/Lieutenant dans l’Artillerie le 1/10/1928
Suit les cours de l’Ecole d’Application de l’Artillerie à Fontainebleau
Affecté au 43ème d’Artillerie à Caen le 24/08/1930
Promu lieutenant le 1/10/1930
Affecté au Cours Pratique de D.C.A. au 402ème R.A. à Metz le 2/10/1934
Promu Capitaine le 25/12/1935
Affecté au 61ème Régiment d’Artillerie, commandé autrefois par son père
Fait la campagne 39-40 avec le 261ème R.A. qui au cours de la retraite se disloque en Côte d’Or
À Varennes-sur-Allier, réussit à échapper à l’ennemi avec l’État-Major de son Régiment, en gagnant à pied la zône libre, par marches de nuit uniquement, jusqu’à Clermont Ferrand (250 km), d’où il rejoint les Villettes, avec un vélo volé, le 4 Juillet 1940
Occupe différentes fonctions dans l’armée de l’Armistice, d’abord à Bourganeuf où il commande le Parc d’Artillerie, puis à Guéret au Parc Auto.
Le 1/09/1941, il devient instructeur à l’École de D.C.A.de Montpellier, sous les ordres du général de Lattre de Tassigny.
Chef d’Escadron le 25/09/1942
Une certaine nuit de Novembre 1942, il est surpris par l’invasion de la zône libre par l’armée allemande. Au matin, ne sachant rien, alors qu’il se dirige à pied vers son bureau, en uniforme, il est averti par un passant que la caserne est gardée par des sentinelles allemandes. Il fait demi-tour, et après s’être changé, passe en civil devant la caserne. Constatant que l’information était exacte, il boucle sa valise et rejoint les Villettes par le train, tandis que de Lattre s’échappe vers l’Espagne. Il est démobilisé et se trouve en état de permission de 30 j. renouvelable du 1/12/1942 au 28/02/1943.
En congé d’Armistice du 1/03/1943 au 15/11/1943
Entré dans les Forces Françaises de l’Intérieur (F.F.I.) le 27/05/1943, il est affecté au Service du Renseignement, puis s’occupe de la récupération de matériel militaire camouflé en Creuse. Au débarquement, il participe à Grammont (H.V.) à des opérations de parachutage et de sabotage. Il entre à Limoges le 21 Août 1944 après la libération de la ville, et participe au regroupement des Forces de l’A.S. (Armée Secrète) de la Haute Vienne. Le 10 Septembre 1944, il est désigné pour commander et organiser les Forces C.F.L. stationnées à Limoges, des bataillons de Grammont, Cussac, et de Saint Junien. Il est ensuite chargé de regrouper les Forces F.F.I. de Limoges et d’organiser un nouveau régiment à la caserne Beaupuy, qui portera le nom de 63ème R.I. Il est enfin nommé au 3ème Bureau de la 12ème Région Militaire à Limoges, pour participer à la réorganisation de l’Armée, et envoyé à Tulle pour prendre le commandement d’un Groupe de F.T.A. son arme d’origine.
Il franchit le Rhin le 9 Mai 1945 et prend part à la fin des opérations de la 1ère Armée en Forêt Noire.
Un an d’occupation en Allemagne, à Oberndorf-am-Neckar où il est chargé de la surveillance des usines Mauser, puis en Sarre près de Neunkirchen.
Nommé professeur au Cours Pratique de Tir Anti-Aérien (C.P.T.A.A.) à Nîmes en 1946
Promu Lt/Colonel le 25/06/1947
Le 20/09/1949, nommé Chef d’Etat Major du général Inspecteur des F.T.A. à Paris
Promu au grade de Colonel le 1/10/1951
Le 15/11/1953, temps de commandement de colonel comme Commandant le 401ème Régiment d’Artillerie Anti-Aérienne à Romainville, puis à l’État-Major du Commandement des F.T.A. à Paris le 25/01/1956
De 1956 à 1959, exerce le commandement de l’Artillerie et des commandements de secteurs opérationnels dans l’Oranais (Algérie).
Colonel Commandant les F.T.A. à Paris le 1/10/1959
Suit les cours des Hautes Etudes Militaires.
Général de Brigade le 1/06/1961.
De Décembre 1961 à 1964, appelé par le général Ailleret, camarade de Promotion, il devient Commandant de l’Artillerie des Forces Françaises en Algérie (Rocher Noir).
Promu Général de Division le 1/06/1964.
Admis dans la 2ème section par anticipation et sur sa demande le 6/06/1964.
Secrétaire Général du Syndicat des Sociétés d’Etudes et Bureaux d’Etudes Techniques (SYNTEC) jusqu’en 1975.
Commandeur de la Légion d’Honneur - Croix de guerre 39-45 avec palme - Médaille Commémorative Française 39-45 avec barette "France Libération" - Croix de la Valeur Militaire - Aigle Blanc de Yougoslavie
Décédé à Poissy des suites d’une grave dégénérescence cérébrale.
Dernière adresse : Résidence Liberty, 18, Rue du Refuge à Versailles.
Décédé à Poissy le 3 Janvier 1993





FAURE Jean
Ingénieur

Père : FAURE Charles Marie Louis (1904 - 1992)
Mère : ROUX DIT BUISSON Madeleine (1907 - 2002)

Union : DELOCHE Jacqueline (1945 - ?)




FAURE Jean Baptiste
Père : FAURE Bruno Guy Martial (1961 - ?)
Mère : LERONDEAU Elisabeth (1959 - ?)



                     


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